Ce métier a le vent en poupe. En
effet, il était à l'origine cantonné à l'étude
des chevaux sauvages, mais il s'oriente vers l'équitation
de loisir et des applications pratiques. Il reste toujours
indispensable d'avoir d'excellentes facultés d'analyse,
d'observation et de patience.
Cependant, les places ne sont encore très
nombreuses et il est nécessaire de suivre une formation
universitaire jusqu'à la soutenance d'une thése.
Différentes formations sont possibles.
Par exemple :
- DEUG sciences et technologies mention Sciences et Vie
avec des UE optionnelles :
- En première année :
- UE6 - Langues et Enseignements Optionnels
:
Histoire de la biologie évolutive
Communication animale & humaine
- En deuxième année :
- UE 10 E : éco-éthologie
- UE 14 B : biologie des organismes
- Licence de biologie mention biologie des organismes
et des populations dont 2 UE spécifiques :
- UE16 - Evolution et adaptations
- UE17 - Bases biologiques de la régulation
des comportements et relations entre les organismes
- Maitrîse de biologie des populations et des écosystèmes
(Avec ou sans mention environnement) dont 2 UE spécifiques
:
- UE3 - Biologie évolutive
- UE6 - Adaptations éco-éthologiques
aux conditions d'élevage
- D.E.A. Eco-Ethologie Evolutive : de l'individu aux éco-systèmes
- Maîtrise de biologie cellulaire et physiologie,
mention physiologie dans :
- UE14 : Neurophysiologie et physiologie du comportement
- UE15 : TP de physiologie animale et éthophysiologie
- DEUG sciences humaines et sociales, mention psychologie
avec un UE optionelle :
- Licence de psychologie :
- UE F2 et F5 : neurosciences comportementales
- UE F3 et F6 (option 11) : developpement des comportements
et conduites
- Maîtrise de psychologie:
- T12 : éthologie comparative
Le salaire varit selon le statut, les responsabilités
et l'ancienneté (de 1.000 à 4.000 euros). |